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le 11/10/2017 à 10:08
Le sel des
oseilles/ The salt of Africa sorrel
Chapitre I : Carré d’as
Quand votre
âge commence à toucher le siècle quel doit être votre régime alimentaire ?
Kama :
« ce n’est pourtant pas ce qu’il y’a de plus difficile chez nous, je peux
me tromper mais… ».
Lomo :
« Il y a qu’à voir dans nos conversations, le leitmotiv est sauce d’oseilles ».
Tout l’entourage
sait que ce simple festin est un césar pour délier les langues de ces dames.
Lomo servit dans un gobelet posé à ses pieds un liquide rouge vif et invita à
la dégustation une dame qui semblait être à tout point sa fille. Elle se
redressa d’un coup et siffla deux gouttes bruyamment. Il s’en suivit deux sons
aiguës « ha ! ; « ho ! » dont l’un semblait
montrer le goût acide et l’autre ouvrit simplement la voie à un vomi.
Les deux vieilles
dames pouffèrent de rire et l’une s’empressa par une voie ayant le timbre d’une
jeune fille pour terminer sa phrase qui était coupée par cette petite
démonstration.
Kama : «
Je disais que le plus difficile c’est d’avoir ce bel élixir pour lequel
seulement quatre dames de toute la communauté connaissent les
vertus. »
C’est cette boisson que les vieilles dames en
ont fait un abreuvage quotidien. C’était également un ingrédient composant tous
les repas de tous les jours. Dans le soir d’une vie, comme cela peut sembler
pour des nonagénaires, il n’est pas surprenant que le voyage ait des saveurs
acides pressées à travers tant de réjouissances et de festivals de ceci et de
cela. On pourrait penser, au vu de ce comportement alimentaire déviant,
qu’elles en ont que faire de la sagesse dans leur très grand âge. Au contraire,
leurs secrets émanent directement de celle-là. Une autre fît son entrée et Lomo
présenta aux visiteurs son parfait homonyme.
Lomo « Lomo,
notre doyenne » Lomo de tout à l’heure parla et elle poursuivit par une
pique qui nous valut un long silence et notre première surprise.
« Ces
jeunes charmants cherchent une âme sœur et nous leur avons suggéré de patienter
quelques instants s’ils souhaitent voir une vrai beauté ».
La doyenne s’avança
à pas feutrés tel un félin vers nous tout en inspectant par un claquement des
doigts. Elle accorda le premier une claque, une autre au deuxième et au
troisième elle en fit trois.
C’est Lomo la
cadette qui nous fournit une interprétation de ce geste peu amical.
Lomo la
cadette : Elle a choisi le troisième comme étant celui qui répond à ses
critères.»
« Ce
choix » nous soufla encore la plus jeune des dames « me rappeler un
adage disant que les oiseaux de même plumage volent ensemble ». Bien sûr,
toute raison gardée nous ne pouvions pas nous empêcher cette petite réflexion
auquel nous ajoutions un fantasme.
Voyant que
Lomo la doyenne avait la peau sur les os, nous nous attendons qu’elle choisisse
le premier qui était le plus en chair de nous tous. A l’inverse de celui pour
lequel la doyenne de tomber amoureuse, il représente selon des us esthétiques
locaux le prototype de l’élégance et du charme. Bien arrondi, il était joufflu
ce qui pouvait laisser penser une alimentation riche et abondante.
Nous ne
doutions pas que ces dames dans leur plus jeune âge eurent des conseils allant
dans le sens d’expliquer le choix de leurs hommes devenus leurs époux par tels
traits.
Lomo la cadette :
A notre époque, on plaçait la barre de la beauté sur l’abondance dont quelques
traits se percevaient sur les apparences.
Dans la foulée
des souvenirs vieux de quatre décennies, un en particulier nous déconcerta. Il
était prononçait par les deux homonymes.
La
caette : « Un homme avait souffert un palu à une semaine de son
mariage. Pour ce mal, il avait perdu plus 20 kilo, vous en souvenez ce qui
arriva »
La
doyenne : « un conseil de femmes se réunir pour demander de reporter
la célébration du mariage parce qu’il se ferait blâmé. «
Ce comité de
femmes étaient composé des matrones et autres marrâtes de la jeune mariée qui
déterraient en plus des critères de succès social ou économique, l’embonpoint parmi
les barreaux de l’échelle matrimoniale ».
Qu’advenait-il
si le verdict de ce comité était défavorable au prétendant ?
Il n’y eût pas
de réponse.
Le point de l’interrogation était suspendu
quand un proverbe vint le briser.
Lomo la
doyenne : « La mort est la conséquence du rassasiement » en
plaçant dans un récipient le gobelet qu’elle venait de vider le contenu acide.
Loin de donner
des explications pour cette attirance qui sortait de l’ordinaire, elle invitait
plutôt à établir un lien entre ce proverbe et leur goût démesuré de ce met rosé.
Mais, il fallait laissé le soin à ces dames le temps de développer cette pensée
populaire au sein du carré d’as. Un débat vint aussitôt séparer en deux
opinions les vielles dâmes.
Ce credo avait valeur d’une loi au sein du
carré d’as et voulait signifier que si elles n’étaient guère rassasiées alors pourquoi
la mort frapperait-elle à leurs portes. Personne d’entre elles ne s’étaient pas
encore détourné des cocktails pour une goutte d’alcool qui les rendaient ivre. Mais
elles ne cherchaient pas tant que ça à convaincre un entourage plongé dans
l’alcool ou accroc à d’autres choses de peu de valeur. Elles auraient pu
arriver, s’il elles le vouaient, à dissuader tant de bonhommes de boire excessivement.
Comme la doyenne avait réussi à le faire pour trois congénères, ce qui donna ce
carré d’as.
Lomo la
doyenne « Tous ceux qui désobéissent que ce soit dans le présent tout
comme dans le future cette loi, un soir ou un matin, se retrouvait toujours
fauchés sur la route ou émergeant des retenues d’eau et les puits perdues ».
La doyenne qui
n’avait pas encore perdu son souffle repris « …ni les puits étaient perdus
ni les eaux ne retenaient personnes. Seuls les hommes qui chutaient dans ces endroits
étaient à la fois perdus et retenus ».
Nous étions venues de découvrir leurs tableaux
de chasse de la vie éternelle mais nous nous retrouvons en face d’une élection
des bonnes pratiques inscrites sur celui-ci. Ces dames étaient à la fois électrices
et organisatrices de cette élection insolite. Mais l’âme de ce processus était
déjà en lui mûr à peine qu’il soit connu dans le milieu. Nous n’échappons pas
le sort de tenir le rôle des observateurs d’un soir. Bien que nous fûmes
émerveiller par ce fait qui lui-même sortait de l’ordinaire.
Le premier
fait soumis au vote était calqué à travers leurs va-et-vient incessants de
chantiers menant au dur labeur.
Pour quiconque
s’intéressait un tant soit peu à leur emploi de temps, s’apercevrait que toutes
les quatre étaient occupées par cette activité identique. La marche occupait un
long temps. Ce qui n’est nullement pas surprenant en ce sens que les distances séparant
leurs domiciles des champs étaient suffisamment longs à tel point que les plus jeunes
n’osaient s’aventurer sur ce trajet que deux à trois fois par semaine. Si cette
activité exigeait tant d’énergie, il en restait cependant davantage pour
épargner pour les tâches de ménage.
Elles
donnaient tant de sueur à la culture d’oseilles ce qui valut leur nom dont
elles partageaient l’affection. En outre, la maitrise culinaire de cette plante
leur constitué une bonne part du fardeau qui les avaient redressées.
« Ceci aurait été une simple métaphore si
le terme n’avait pas quelque usage dans la cuisine. »
Pour ce fait, au moins, elles étaient connues comme
telles. Ces dames éprouvaient certainement autant des idées ploutocratiques que
ceux dont le bonnet de chefferie leur était livré sur un plateau d’or par un
clan. Las d’attendre leur couronnement par leur tribu, elles plaçaient sur un
cercle de fans l’espoir de faire régner les mœurs dont elles avaient la charge
de perpétuer. Comme leurs mets appétissants qu’elles ne manquaient pas de
partager avec leurs visiteurs, elles savouraient plus particulièrement leur
curiosité.
Essentiellement
constitué des nostalgiques, il ne faut pas plus qu’un repas pour faire le plein
de fans. Les dames des oseilles auraient se contenté et ne prendre garde des
iconoclastes dont aucuns ne met ne leur donné ni l’appétit ni la satiété.
A part ce petit monde d’admirateurs, leur
renommée nous renvoie au premier secret bien gardé de consommatrices habiles
elles-mêmes de ces feuilles dont elles partageaint le nom. Tout cela semblait en
quelque sorte un aboutissement. Pour la communauté, les dames des oseilles représentaient
une dernière brigade inattaquable des bonne vielle mœurs. Dans le fort
intérieur du quarto, il leur était venu comme pour tout pouvoir de tracer les
lignes en termes de stratégies de conquête permanente de partisans. Elles
venaient de propulser leur vie vers une carrière ingrate. Celui qui s’aventurer
par des conseils sur la retraite se mettait au travers de leurs plans. Il en recevait
pour son grade. La première bataille était bien engagée contre leurs brus. Cela
semble facile tant ces dernières manquaient cruellement d’arguments pour leur opposer
une résistance. (or le
simple refus de soustraire marquait le conflt generationnelle).
Pour parler des faiblesses de cette relève des
adjectifs peu amicaux étaient entendues dans les conversations des dames des oseilles.
Si cela ne suffisait pas à décrire les incompétences de leurs belles filles d’autres
substantifs telle que la modernité et l’urbanisation surgissaient sous un ton railleur.
Pour leurs auteurs ce n’étaient pas des mots mais des maux d’une génération.
La critique était
telle que aucun vieux masque traditionnel n’inspirait autant de crainte pour
les jeunes mariées que ces hauts statuts parlants. Lors d’un mariage par exemple, elle se
recomposait autrement en un jury pour donner autant de délibérés qu’il avait de
membres. L’une était censée de prononcer la sentence concernant la virginité de
la jeune mariée. Son délibéré était sans appel. Un autre prenait sur elle le
devoir de rendre le jugement sur les effets de mariages. Elle était assistée
dans cette tâche par des dames qui s’y connaissaient en pagnes, en ustensiles
de cuisine et d’autres attirails pour faire une beauté artificielle. Il fallait
que tout le lot passe au peigne fin jaugeant aussi bien dans la qualité que
dans la quantité exceptée des présents offerts aux patriarches où elle n’avait
aucune compétence. Dans ces moments, réussir à capter son attention c’était se
rapprocher de la victoire. Voilà que par le biais de l’émancipation des célébrations
de mariage se succédèrent sans que ces dames soient sollicitées de quelque
manière. Les jeunes brus venaient de s’émanciper de leurs belles mères. Ces
dernières avaient perdu une bataille sans l’avoir vraiment livré contre le
maire. Par une résolution unilatérale il fallait que les dames des oseilles utilisent
d’autres voies pour terrifier leurs brus. Cette résurgence de la terreur
s’apercevait dans le travail des deux autres. Une d’elles savourait ses astuces
médicinales pour nouveau-né. Sur notice verbal, les brus prenaient pour argent
comptant toutes les breuvages que ramener ces vieilles dames. Les jeunes mères
avaient du mal à faire entendre d’autres avis médicaux. Du coup il n’était pas
rare de trouver des plaintes en sourdine près du sommeil sous d’oreillers où se
nourrissaient des idées de nucléarisation.
Ce que disaient les jeunes dames ou alors c’est
qu’elles faisaient sans dire n’étaient que d’histoires propres aux novices. Face
aux expériences ancestrales, elles ne pesaient rien. D’ailleurs, les dames des
oseilles ne trouvèrent guerre où placer le discernement dans le flot de parole
de ces mères insouciantes. Chacune de ces vieilles dames se plaisait à rappeler
aux « fugueuse de maternité » ce qu’était une mère. Par-dessus tout,
elles ne comprenaient pas que le curseur de la maternité autrefois placé sur
l’alerte maximum avait bougé, en moins d’un siècle » vers la négligence. Cet
état de fait leur donner l’impression d’avoir échoué. Si cette bourde
représentait une trahison des valeurs traditionnelles elles en étaient les
seuls responsables. Ne dit-on pas des femmes qu’elles sont l’essence de la
famille. Celle-ci s’était nucléarisé au point que le carré d’as lui-même se
retrouvait en périphérique du cercle familial et se tenait désormais sur un
seul fil. D’un bout se trouvait l’époux détaché de tout égo patriarcal et de
l’autre une épouse émancipée des conseils et injonction venant de la ligne
matriarcale. Il n’est pas surprenant que pour la progéniture d’un tel couple,
les dames des oseilles apparaissent comme des zombies voire un épouvantail pour
décourager les enfants de se rendre pour se ressourcer. La source se tarissait
à une vitesse vertigineuse sans que personne ne s’en soucie aucunement.
A force
d’intrigues, la doyenne du carré d’as illuminant dans les airs un éclat. Aussitôt,
cette largeur souriante vint au-devant de ses compères un met dans les bras.
Elle voulut faire un guet-apens culinaire. « Plus étonnant »
pensais-je en fixant la couleur rouge vif du contenant et de son contenu. Les
larges éclats de rire redoublèrent comme un tonnerre et vinrent couper un
appétit naissant.
Elle se fendis
dans des protestations qui se limitèrent, à un hochement de la tête. Puis les
épaules qui oscillent instinctivement au rythme d’un seul impératif répété de
« mange ». Je n’avais aucune chance après que siffla un ton qui m’infligeait
soudainement une grande fatigue. La peur s’installa en maître dans mes pensées.
J’étais subitement devenu l’objet des discussions railleuses. Une plus grosse
voix venait de faire son entrée. Je n’avais plus faim, j’avais réellement soif.
Je pensai qu’il fallait obéir aux deux afin que dans une seconde bouée de
sauvetage je trouverai une sérénité pour avouer son crime. Autant dire que dans
la famille ce rôle lui est dévolu depuis des générations. Elle s'en servait
comme un gouvernail pour l'orientation de petits-enfants. Mais moi je ne savais
pas où elle me conduira par ce second baptême. Si elle avait un tel pouvoir de
baptiser, elle avait aussi le cristal des destins. Pour certains des plus
énigmatiques dont la naissance était suivie de la mort avec un intervalle de
deux ans, on pensait qu'ils incarner le retour un aïeul.
A force de jeter la lumière sur ces zombies,
il sera impossible de tirer quelque chose" et j'y pense tout le temps. Ce
qui venait freiner toute tentative de recourir aux têtes grisés qui verraient
dans mes paroles des vexations involontaires. Le plus redoutable est cette
action ne serait pas le produit de mes recherches mais une pensée intrépide qui
relève plutôt du secret de la famille. Cela produit des effets augmente ma
crainte quand j'y pense. La science dont j'étais l'élève ne me conduira que
moins vers un simple apprentissage théologique en particulier la découverte des
saints. Bénédicte et Fidel dont ma grand-mère et moi en étaient respectivement
les filleuls. Au contraire, mon entreprise était un chemin de non-retour
qu'avaient
Une raison de
plus de considérer l'étymologie comme la voie qui tout à coup me fera
"croyant". Pour le moins c'est un début pour le voyage vers la
découverte de soi. Avant cela, je ne considère croyant mais pas tant que ça. De
toute manière de quoi est-ce besoin de
s'en préoccuper. A part que ma grande s'est investi pour que j'acquiert un nom passé au rayon X. Ma grand-mère s'est
évertuée par divers moyens pour ajouter à sa mission protectrice un peu
d'elle-même, sa bénédiction qu'elle me servait d'une tasse. Celle qu'elle avait
bu avant de découvrir par l'entremise d'un missionnaire qu'elle pouvait encore
avoir son mot dans mon orientation. Elle avait juré de mener la bataille, elle
et ses alliés, les prêtres contre ma
maîtresse d'école derrière je m'était rangée. Elle avait perdue plus d'une
bataille. Sur le terrain qu'elle sema les graines de noblesse était occupée par
des ennemis. Tous ces inconnus pour reprendre un mot utilisé par ma grande mère
Bennettite représenter une menace à yeux. De son avis, je foulais au pied ce
premier principe de ne jamais m'adresser à un inconnu sans qu'elle
m'autorise. Le petit homme timide était
presqu'achevé sans un mot prononcé qui serait comme plus qu'une trahison à mes
pensées intimes une trahison à mémé.
Pour avoir avoué une fois qu'elle était relayée
au second plan dans mes pensées d'ados, je démunirais, sans le savoir, le seul
soutien pour ma scolarité. Dorénavant, elle se passait de mes frais dans sa pour
elle préfèrerais faire passer en premier
les conseils de mes maîtres, mes amis avant ses sermons et remontrances. Ceci
prouve qu'elle, de son côté avait énormément changé d'attitude. Elle était
passée d’une tendre épouse jusqu'à mon 14 éme anniversaire, selon les mœurs
locales à une donneur d'ordre. Par dépit, d'avoir maintenant tout perdu elle se montrait aussi
blessante que pouvait l'être ma maîtresse dans mes mauvais jours. C'était
devenu agaçant pour elle de me voir s'éloigner de ces plaisanteries et
nombreuses crises de jalousies. Je supporte qu'à un si jeune âge une épouse
n'était pas dans mes plans. Je voulais grandir d'abord. Cela n'était point de
son avis. S'il arrivait de plus en plus que je tourne le dos pour un repas avec
elle, ce que j'avais décidé de perde les gros morceaux de viandes qu'elle me
réservé ou gagner en maturité. C'est sur ce point que la discorde était née.
Selon ma grande mère, nul plus qu'elle ne pourrait prendre soin de mes besoins
en calories qui selon ses mots me feraient grandir si vite. Si je concède
qu'elle eût raison c'est seulement, en partie à cause de la taille. A
l'inverse, je serais plus mature dans ma tête et aurait davantage d'idées
novatrices en dînant avec les gamins de mon âge. Il est bien avéré que leurs
histoires ne pouvait aucunement rivaliser le talent oratoire d'une grande mère
qui savait comment était le vent, ce que le coq raconte dans ses champ et
pourquoi ma tête avait perdu sa place et de sa grosseur au profit de mon
ventre. Et beaucoup de devinette dont elle savait répondre. Par exemple elle me
demande de deviner qui de sept petits binômes est plus fort.
C'était une
fratrie de sept bonhommes qui avaient pour noms : le penseur, le renifleur,
le creuseur, le nettoyeur, le vidangeur,
le lanceur et le gobeur. Leur perd état porté disparu voilà pendant longtemps.
Dans la septième année de sa disparition, le penseur qui est un de ses fils
s'exclama ainsi: " Les frères je
viens de me rappeler de notre papa", "où est-il " se demanda à
tour de rôle les six autres.
"Il a
disparu " répondit celui qui a le meilleur QI. S'engea une discussion et
fini sur une instruction de l'ainé le Renifleur : "Suivez-moi" .
Aussitôt, il s'est mis à renifler sur les traces de leur père. Au bout de sept
jours, marquant une clairière au milieu d'une vallée il demanda à sa suite
"comment allons-nous faire pour sortir des dix mètres de profondeur?
Le Creuseur
s'avancer l'air serein et dit" S'il s'y trouve, je le ferai sortir dans 2
minutes". Les autres eurent à peine le temps de s'assoir qu'ils virent un
homme Ce fût le tour du nettoyeur passer l'homme à la douche et le fit sortir
tout immaculé. Mais ce dernier n'eût pas le temps d'enfiler ses habits qu'il
glissa et tomba au fond d'un ravin de quarante mètres. Le vidangeur s'installa
en bordure et se mit à absorber à grande vitesse jusqu'à ce qu'il ne resta que
le père assis à découvert dans le
basfonds. Ses enfants l'invitèrent à
remonter le ravin par une corde qu'ils lui tendirent. Aussitôt, ils se mirent
en route pour rejoindre le domicile. Comme les enfants avançaient plus vite que
leur père, un léopard vint et l'enleva. En survolant, les enfants s'persévèrent
que était entre le bec d'une rapace. Le lanceur fût appelé à la rescousse. D'un
coup de pierre il parvint à faire décrocher l'oiseau qui lâcha le père à
quarante mètre d'altitude pour s'enfuir. Les enfants qui virent leur père
descendre comme une fusée élaborèrent un plan à l'aide du gobeur. Celui-ci se
positionner en tête du peloton et brandit sa poitrine pour un atterrissage
d'urgence. Par cet amortisseur humain, le père eut la vie sauve et se remis sur
pieds pour poursuivre le voyage de retour.
Faisant une
pause, elle me demanda celui des sept celui qui était le fils prodige.
En fait, elle
avait la bonne réponse qui à chaque fois me laissais en extase.
C'est
précisément le souvenir que je retiens de ma grande mère. Par elle, je savais
percer mes pensées avec comme seuls outils les prénoms de deux mammifères. Dans
le monde voisin, celui où l'hyène est livré sans défense à la ruse du lièvre,
il qu'un seul damné. Comme je comptais autan d'aventures que cet infortuné pour
le pue que je savais d'eux. Je trouvais extraordinaire qu'elle jouisse une
telle mémoire vive pour peu qu'elle ne soit assailli d'interrogations. Le
moment était venu pour que je me rapproche de la vérité. Ce moment est venu par
un exercice d'orthographe de mon nom.
Un jour, j'ai
pris place à ses côtés, faisant d'elle le siège pour reposer ma tête par le
dos. C'est par cet cérémonial que je cherché à transmettre une pensée à
Bénédicte. A l'inverse si je plonge la tête entre ses pieds, la face en avant,
cela voudrais dire que j'avais des réclamations qui lui étaient destinées. Si
elle n’avait pas elle-même quelque griefs contre moi alors, elle dira de vider
mon sac. Je lui aurais montrer aussitôt par un tracé sur le sol cet OVNI. Il
eut cette envie de découverte de mon appellation. Mais ayant laissé apparaitre
une injonction et une poussée de curiosité ce qui suffisaient à ce que mes
forces d'articulation cédèrent. J'avais commis une première erreur
Il y’a quelque
chose dont j’ignore les raisons.
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